La Ferme de La Vergne

La Ferme de La Vergne

ferme de la vergne

 

– Didier Mons – éleveur de poules pondeuses

une histoire de famille corrézienne (Donzenac) depuis plus de 50 ans…

Je suis la troisième génération de producteur.

J’ai gardé la façon d’élever les poules de mon grand-pére, de façon traditionnelle : mes poules sont en liberté dans le poulailler basse cour (code 2).

L’alimentation est exclusivement composée de céréales garanties “sans O G M , ni farine de viande” ce qui permet de garantir la bonne qualité de l’oeuf.

Les soins des animaux : de manière préventive, j’utilise de plantes pour protéger mes poules et améliorer la qualité des oeufs.

Je réalise moi-même le ramassage des oeufs, le calibrage, la traçabilité sur place dans un local agrée CEE, tous les jours dimanche y compris.

Du mardi au samedi et toutes les semaines de l’année, je livre les oeufs pour garantir la fraicheur à mes clients. Ainsi à la ferme de Vialard, vous achetez des œufs toujours extra frais (moins de 8 jours après la ponte) et vous pouvez ainsi les déguster aussi bien dans des pâtes à gâteau qu’en omelette ou simplement à la coque.

Bon appétit.

Serge Castagneyrol

Serge Castagneyrol

>Serge Castegneyrol

Producteur de POMMES à Eyliac, ces dernières sont produites sur une exploitation d’une dizaine d’hectares située à l’est de Pé­rigueux sur un coteau qui domine le petit village d’Eyliac.

Un peu d’histoire

A la maison, les fruits c’est une longue histoire qui a commencée à la fin des années cinquante.

Pourquoi ? Très simplement mon père qui faisait de la polyculture (tabac, lait, vignes et céréales) et ayant aussi l’âme d’un commerçant, fit l’acquisi­tion d’un verger de pommiers.

De nos jours

Il y a des cerisiers, du raisin de table et deux hectares de pommiers. Les variétés sont nombreuses pour étaler la période de cueillette et diversifier vos plaisirs gustatifs et culinaires (Gala, Golden, Boskop, Belchard, Sainte Germaine…). Vous les trou­vez aussi sous forme de pur jus de pommes.

Sur cette exploitation, je travaille seul, sauf pour la récolte où j’emploie généralement trois salariés. Cette main d’oeuvre saisonnière fait par­tie des coûts de production au même titre que les amendements du sol (physalgue et patenkali utilisés en agriculture biologique) et les produits phytosanitaires. Pour ces derniers, j’utilise des produits issus de la lutte conventionnelle mais aussi biologique, je pratique donc une agriculture rai­sonnée.

Pourquoi ces traitements ?

J’utilise des produits chimiques parce que parmi eux certains sont très sélec­tifs et non toxiques pour les abeilles. En bio, ce n’est pas toujours le cas, certains bénéficient de dérogations et ne sont pas exempts de toxicité pour l’homme (cuivre, pyrètre). Ces produits sont nécessaires pour garantir la qua­lité requise pour la vente des fruits.

Vialard, port d’attache

En effet, ma clientèle de primeurs et de petites alimentations ayant disparue peu à peu, il me fallait de nouveaux débouchés. J’ai donc tenté l’aventure et jeté l’ancre ici, à la ferme. Chacun des producteurs apporte sa pierre à l’édi­fice en fonction de sa production ou de la transformation de ses produits ou les deux. Bien sûr nous sommes ici pour vendre et c’est à nous qu’il appartient de nous entendre pour préserver l’inté­rêt commun et faire en sorte que tous y trouvent leur compte. Car sans vous, nos clients, que serait Vialard ?

Serge Bernouillet

Serge Bernouillet

Serge bernouillet

 

Apiculteur à Sarlat

On devient apiculteur de différentes façons : souvent, il existe des ruches dans la famille, pour moi, c’est un essaim qui est venu s’installer à côté de la maison. C’était en 1970 : la motivation pour l’apiculture, le désir de mieux connaître les abeilles est venu dès ce moment-là.

Ensuite, j’ai effectué de nombreux stages en école d’apiculture ou chez des apiculteurs professionnels, la lecture sur ce sujet ne suffit pas. Pendant mes premières années, je n’ai eu que des abeilles locales (dites noires du Pays), qui ne sont pas de la plus grande douceur !

Au cours de mes stages, j’ai découvert l’abeille Buckfast (du nom de l’abbaye de Buckfast, dans laquelle le père Adan a passé sa vie à stabiliser cette souche). Depuis, je m’efforce de sélectionner mes reines sur les descendants de cette dernière.

Mes ruches en Périgord sont situées dans un rayon de 10 km autour de Sarlat (20 ruches). Je possède également 10 ruches situées à la pointe de Grave à 30 m de l’Océan (Gironde) dans un environnement très iodé parmi des centaines d’hectares de ronces, d’acacias et de fleurs de dunes. Enfin, j’entretiens également un rucher d’élevage et de fécondation de reines qui se compose d’une vingtaine de « ruches mini-plus ». Ces reines sont élevées sur des souches d’abeilles Buckfast qui ont subi une sélection très rigoureuse afin qu’elles résistent aux maladies. Malgré cela, il est difficile de maintenir le nombre de ruches, il faut élever et renouveler les reines tous les 2 ans.

Mes ruches sont de type Dadant 10 cadres. La moyenne de production de miel varie de 15 à 25 kilo par ruche.

    • Les ruches en production ne sont jamais nourries avec du sucre ou d’autres produits afin de garantir la qualité et la pureté du miel récolté.
    • Le miel est prélevé dans les hausses lorsqu’il est arrivé à maturation maximum (bien operculé), pour garantir le taux d’humidité au niveau idéal
    • La cire que j’utilise est celle de ma production, récupérée dans les hausses (cire d’opercule) pour éviter d’introduire de la cire traitée ou contaminée

Pour s’occuper des abeilles, il faut être passionné et les aimer, surtout en cette période où la mortalité de ces dernières est importante. Combien de ruches resteront vivantes au printemps ?

Les abeilles ne craignent pas le froid ; Elles sont surtout sensibles aux pesticides, frelons asiatiques, varoa… Toutes ces causes font que de nombreuses ruches ont disparu ces dernières années, en France, en Europe et dans le Monde…

Restons optimistes afin que ce constat soit de plus en plus pris en compte.

Les abeilles sont indispensables à la pollinisation et à l’écosystème. Espérons que des solutions simples, intelligentes et efficaces soient trouvées, afin que l’apiculture subsiste…

GAEC du Massip

GAEC du Massip

Gaec du massip


46170 Castelnau Montratier 05 65 21 94 70

Notre ferme « GAEC du Massip » est située sur les coteaux de la commune de castelnau-Montratier, au sud du Lot dans le Quercy Blanc.

Nous produisons des fruits, des céréales, des bovins en agriculture conventionnelle et raisonnée.

Notre première production de la saison sont les cerises, en suivant nous cueillons les abricots, les pêches, les nectarines, les prunes, les melons et les raisins de table.

Nous faisons également transformer le surplus de la récolte de raisin en jus de fruit.

Dominique ferrero


 


 

La chèvre & le chou

La chèvre & le chou

JENNIFER KENDALL

J’ai créé mon élevage en septembre 2015. J’ai toujours voulu être éleveuse, mais je ne voulais pas m’installer trop tôt. Je voulais profiter, voir du pays, faire diverses expériences aussi, je suis une aventurière. J’ai cherché pendant deux ans une ferme où m’installer en Périgord Noir, mon pays natal, pour être proche des miens afin d’apprécier mes racines dans toutes leurs splendeurs. J’ai trouvé la ferme de mes rêves au lieu-dit Versailles à Meyrals (de quoi rêver avec un peu d’humour). Construction d’une chèvrerie en bois, aménagement d’une ancienne grange en fromagerie, les travaux ont dû aller bon train pour que tout soit prêt dès les premières mises-bas d’avril 2016. Un démarrage avec 40 chèvres laitières, cela me rend environ une moyenne de 80 litres de lait par jours, à transformer en fromages, yaourts ou autres desserts lactés. Tous mes produits sont vendus localement, entre la boutique, bio coop et quelques marchés. Je suis fière d’avoir pu intégrer l’Association de la Ferme de Vialard, dont je partage l’éthique et les valeurs.